Perles de la SAAQ !
On les attendait, elles sont là ! Voici les dernières perles reçues de la Société de l’assurance automobile du Québec. C’est devenu une tradition : régulièrement, le centre de documentation et d’information de l’assurance publie les bévues les plus amusantes trouvées dans le courrier des assurances. L’orthographe, le vocabulaire et la grammaire sont certifiés d’origine…
- Je vous serais obligé de m’adresser le courrier concernant mon accident a un de mes amis M. … car, pour la passagère blessée, ma femme n’est pas au courant, et il vaut mieux pas. Je compte sur votre compréhension pour ne pas déshonorer un honnête père de famille ?
- Il faut dire à ma décharge que le poteau que j’ai buté était caché par l’invisibilité du brouillard.
- Ma voiture gênant la circulation, un portugais m’a aidé à la mettre sur le trottoir, ainsi que ma femme qui rentrait de son travail.
- Je désire que ma voiture soit utilisable accidentellement par mes enfants majeurs considérés comme novices.
- Je suivais la voiture qui me précédait qui après que je l’ai dépassé m’a suivie, c’est alors qu’elle m’a choquée en plein derrière et m’a forcé par la choquer moi aussi le derrière de celle qui était devant.
- Circonstances de l’accident : est passé à travers une porte vitrée lors de l’opération « portes ouvertes » de l’entreprise.
- En avançant, j’ai cassé le feu arrière de la voiture qui me précédait. J’ai donc reculé, mais en reculant j’ai cabossé le pare-chocs de la voiture qui me suivait. C’est alors que je suis sorti pour remplir les constats, mais en sortant j’ai renversé un cycliste avec ma portière. C’est tout ce que j’ai à déclarer aujourd’hui.
- J’ai heurté une voiture en stationnement et je me suis bien gardé de me faire connaître auprès de l’automobiliste. J’espère que vous serez content et que vous pouvez faire un petit geste en m’accordant un bonus supplémentaire.
- Je vous demanderais de ne tenir aucun compte du constat amiable. Vous comprendrez en effet que je fus brusquement pris d’une émotion subite : arrière défoncé, présence de la police, choc psychologique, tout concourrait à ce que je mette des croix au hasard.
- Vous savez que mon taxi est transformé en corbillard et que je n’y transporte que des morts. Mes clients ne risquant plus rien, est-il bien nécessaire que vous me fassiez payer une prime pour le cas ou ils seraient victimes d’un accident ?
- Depuis ma chute, je ne peux plus me déplacer. Veuillez m’indiquer la marche à suivre.
- J’ai heurté brutalement l’arrière de la voiture qui me précédait. Mais grâce à mon casque, ma blessure au poignet est sans gravité ?
- Chacun des conducteurs conduisait sa voiture.
- Le camion s’est sauvé précipitamment sans montrer ses papiers.
- Je vous témoigne mon grand mécontentement vous mettez tellement de temps à me rembourser mes accidents que c’est toujours avec celui d’avant que je paye les dégâts de celui d’après, alors n’est-ce pas que ce n’est pas sérieux de votre part.
- Le cycliste zigzaguait sur la route, tantôt à gauche, tantôt à droite, avant que je puisse le télescoper.
- Ne pouvant plus travailler à la suite de mon accident, j’ai du vendre mon commerce et devenir fonctionnaire.
- Puisque vous me demandez un témoignage précis, je vous dirai qu’a mon avis c’est le monsieur qui a tort, puisque la dame a raison.
- J’ai tapé un trottoir en glissant sur une plaque de verglas et j’ai cassé ma gente et mon bras gauche.
- Malgré ma fracture au poignet, j’ai pris mon courage a deux mains.
- Je ne suis pas responsable du refus de priorité puisque je n’avais pas vu venir la voiture, vous pensez bien que si je l’avais vue je me serais arrêté.
- Depuis son accident, ma femme est encore pire qu’avant. J’espère que vous en tiendrez compte.
- Je vous ai fait remarquer que ce croisement est très dangereux vu qu’il y a deux routes qui se coupent juste à cette place là.
- Je n’avais pas vu la voiture arriver et quand je l’ai vue je n’ai plus rien vu.
- Pour les blessures de ma femme je vous envoie ci-joint le certificat que j’ai pu arriver à avoir par mon docteur. Je les mets donc sous réserves en attendant que vous m’écriviez combien elles peuvent me rapporter environ.
- Je débouchais d’un chemin à une vitesse approximative de 100 et voilà que je heurte un arbre. L’arbre m’a injecté de ma voiture alors que la voiture a continué toute seule avec la jeune fille que j’étais sorti avec.